J'ai exercé le plus beau métier du monde
En 1958, Henri Cibert intègre la troisième promotion de pilotes de ligne formée à Saint-Yan. La suite de sa carrière est étonnante…
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J’AI EXERCÉ LE PLUS BEAU MÉTIER DU MONDE
Par Henri Cibert
En 1958, Henri Cibert intègre la troisième promotion de pilotes de ligne formée à Saint-Yan. La suite de sa carrière est étonnante…
Après avoir passé les brevets théoriques de pilote de ligne et de
navigateur à Air France, il effectue son service militaire et vole sur
T-6 et T-28, des avions américains d’entraînement et d’appui feu.
En 1963, les compagnies aériennes sont en sureffectif, il est alors rappelé à Saint-Yan qui manque d’instructeurs. Qualifié sur le légendaire DC-3, il part voler en Libye avant d’être recruté comme navigateur par Air France qui exploite alors le plus long réseau du monde. Il passe ensuite en place droite pour 4 900 heures de vol en tant que copilote sur Boeing 707.
Promu commandant de bord, il est qualifié sur la mythique Caravelle.
De 1974 à 1985, il redevient deux ans instructeur, avant de se consacrer pendant cinq ans à la modernisation de la formation délivrée au centre de Saint-Yan, afin de l’adapter à l’arrivée prévisible de l’équipage à deux pilotes à Air France. Puis il participe à l’évolution de la formation et du contrôle du niveau professionnel des pilotes de sa compagnie.
– 2 000 heures sur Airbus A300 et A310.
– 3 000 heures sur Boeing 747.
Il effectue 4 000 heures sur Airbus A340, l’avion le plus moderne des années 90.
Après 1993, alors qu’Air France était passée au bord de la faillite,
Henri s’implique jusqu’à sa retraite pour participer personnellement au redressement de la compagnie.
En 1999, lors de son ultime décollage de Charles-de-Gaulle à
destination de San Francisco, il cumule 20 000 heures de vol.
Une vie rythmée par la passion d’un métier
qu’il qualifie de plus beau du monde !
Voici quelques commentaires de nos lecteurs :
1) Ce plus beau métier du monde, que j’aurais tellement aimé faire …
Merci de m’avoir permis de lire les premières pages du livre en préparation.
J’ai été très émue par le prologue et surtout la première leçon de pilotage dont je ressens encore les sensations…Il y a dans ces premières pages le reflet de la passion, et je te remercie de m’avoir permis de les lire, relire et d’en partager quelques bons moments ...
Pas facile de commencer une œuvre comme celle-ci !
Marc vient de me dire que le livre est publié, et je serais très heureuse de pouvoir le lire. Merci de m’en envoyer les références.
En tous cas, bravo d’avoir été au bout d’un travail énorme, j’admire beaucoup !
Et félicitations pour le succès et le bonheur de savoir que la passion peut être partagée !
Monique Antiglio
2) Henri, je viens de terminer une deuxième lecture de ton ouvrage. C'est te dire tout le plaisir que cela m'a apporté.
Comme j'ai déjà du te le dire, toute la première partie qui nous concerne tous les deux a ravivé tellement de souvenirs ...
Mais, toute la suite qui est dans un style très "coulé" et par conséquent d'une fluidité sans pareil, devrait beaucoup plaire aux acheteurs éventuels … Je t'en souhaite un très grand nombre.
J'ai bien aimé le fait que tu aies beaucoup impliqué toute ta famille dans tes voyages, ce qui amène un intérêt particulier à ce métier.
Maurice GALINS
3) Cher Henri, si j’ai un commentaire à faire sur ton livre, je dirais que sa lecture est aisée. Le souci de ne pas être sophistiqué techniquement met sa compréhension à la portée des personnes étrangères au monde aéronautique. Je me suis retrouvé pleinement dans tes récits ayant vécu une vie professionnelle et familiale similaire à la tienne. Ma lecture, qui reste certainement subjective, a éveillé en moi des souvenirs que tu résumes dans le titre de ton livre et qui ne manquera pas de susciter des passions chez les jeunes générations.
Et finalement le récit de ton dernier vol, que tu as a effectué dans une ambiance de tendresse et d’admiration, n’a pas manqué de me faire couler une petite larme au coin de l’œil.
Toute personne, qui a la curiosité de percer le mystère de la carrière de pilote de ligne, trouvera dans ton livre des réponses authentiques.
Bonne altitude à ton ouvrage!!! Amitiés.
Captain Lahbib ESSAIDI Royal Air Maroc
4) Je confirme que ton livre est passionnant et se lit comme un roman d’aventures, témoins, acteurs d’une vie d’aviateur riche en expériences, agrémentée de rencontres humaines, de commentaires personnels et de réflexions témoignant d’un humanisme et d‘expériences uniques sur le plan professionnel.
Bernard Pourchet
5) Nombreux sont les pilotes qui tracent des virgules entre les nuages.
Henri Cibert a su effacer les nuages de la formation et les remplacer par des mots, des phrases et des actes.
Il a profondément rénové la pédagogie. Certes, nous respectons la tradition et pour exercer notre passion du métier de pilote de ligne, la transmission est essentielle.De 15 ans mon ainé, j’ai fait sa connaissance à Saint-Yan en 1980 en fin de formation. Puis nous avons volé ensemble sur B747 à Air France où il était très actif quant à l’évolution de la formation des équipages et de la rigueur dans les cockpits.J’ai eu le privilège de rencontrer ses instructeurs dont nombreux furent les miens ou m’ont contrôlé en vol. J’ai piloté les mêmes avions, Stampe, T6, MS733, HR100, C310, N262, MS760, Corvette…Voilà pourquoi ce recueil d’étapes est un témoignage précieux et émouvant.Merci Henri de nous avoir confié ce magnifique plan de vol dont nous revivons les étapes.Merci d’avoir évité de te poser sur la planète Taire.Jean-Louis ODDOS CDB 777 retraité d’Air France