Erreurs de pilotage 18

Le thème de l’ouvrage est le même… Malgré les dénégations de certains, le facteur humain reste le maillon faible de la sécurité aérienne. Manque de formation… Autosatisfaction dangereuse… Négligences routinières… Mais l’abus de Vodka et l’incompétence de certains pilotes russes sont également au programme.

-        Un policier à la retraite a toujours rêvé de devenir pilote. Il passe alors une licence de pilote de ligne et se fait engager par une compagnie privée. Malheureusement, son expérience est faible et il vole trop peu pour être performant.  

-       Un ancien militaire est engagé comme pilote de ligne dans une compagnie aérienne mais il a conservé une mentalité terriblement dure qui ne correspond pas aux règles de sécurité de l’aviation civile. Par ailleurs, il est ruiné financièrement à la suite d’investissements en bourse catastrophique. Désespéré, il veut en finir avec la vie !   

-       Un pilote russe a obtenu sa licence de pilote de ligne en versant des pots de vins à tous ses examinateurs. Chacun sait pourtant qu’il est totalement incompétent. Promu commandant de bord contre toute logique, il plante un 737 avec quarante-quatre passagers. 

-       Le commandant de bord d’un Boeing 737 de la compagnie Aeroflot-Nord est totalement incompétent… Il est inexpérimenté, ivre et épuisé par les vols qu’il a effectués les trois jours précédents. En situation de désorientation spatiale, il perd le contrôle de son avion en courte finale de nuit et s’écrase sur la voie ferrée du Transsibérien.

-       Etc.

Jean-Pierre OTELLIétait pilote de présentation en salons aéronautiques et en meetings aériens. Avec 15 600 heures de vol, il était également leader de patrouille acrobatique et instructeur de voltige aérienne… 

Expert aéronautique, consultant pour les media, il a écrit de nombreux livres à succès sur la sécurité aérienne.

Ses ouvrages sont traduits en plusieurs langues : anglais, allemand, finnois, hollandais, japonais et portugais brésilien.