ERREURS DE PILOTAGE 14
Malgré les dénégations de certains, le facteur humain reste le maillon faible de la sécurité aérienne.
Règlement via un serveur sécurisé Société Générale. Vos données bancaires restent confidentielles.
Envoi par La Poste, courrier postal, Colissimo ou Chronopost.
N'hésitez pas à nous contacter
ERREURS DE PILOTAGE Tome 14
Par Jean-Pierre OTELLI
Malgré les dénégations de certains, le facteur humain reste le maillon faible de la sécurité aérienne. Manque de formation… Autosatisfaction dangereuse… Négligences routinières… Imprudences criminelles. Quelles que soient les raisons, l’homme est presque toujours à l’origine des accidents :
- Le pilote utilise ses inverseurs de poussée pour reculer avec son Boeing : il finit dans un fossé (photo de couverture).
- Le commandant effectue une approche par mauvais temps en Alaska sans respecter les indications de ses instruments. Il ne parvient pas à contrôler son Boeing…
- L’équipage d’un Jumbo-Jet ne tient pas compte de la présence d’un énorme orage sur l’aéroport de Dallas. L’avion est pris dans un cisaillement de vent et s’écrase.
- À la suite d’une panne du Pilote Automatique, le commandant d’un Sukhoi RRJ95 ne sait pas piloter à la main. Il finit en flammes sur l’aéroport de Moscou Sheremtyevo.
- Le Lt-colonel de l’US Air Force ne respecte jamais les paramètres du B-52 qu’il pilote. Il manœuvre son bombardier dans un meeting comme s’il s’agissait d’un avion de voltige (photo ci-dessous).